J'avais prévu de vous renvoyer au débat que nous venons d'avoir, mais trop de choses fausses ont été dites et méritent une réponse. Pardon de vous le dire, chers collègues du Rassemblement national, mais vous n'êtes pas cohérents, et ce pour au moins deux raisons – Mme Genevard vous a déjà mis devant vos contradictions tout à l'heure. Vous voulez augmenter le nombre de places en prison mais pas le nombre d'agents nécessaires à leur surveillance : c'est un problème !