Il s'agit d'une demande expresse de la procureure de Fort-de-France, qui doit gérer des affaires de stupéfiants extrêmement graves, dans lesquelles il n'est pas recommandé de faire voyager jusqu'à Fort-de-France des personnes inculpées en Guyane. Mieux vaut recourir dans ce cas à la visioconférence.
J'ajoute que mon amendement n° 791 , qui suit celui-ci, élargit cette mesure à la Jirs de Paris, étant précisé que les personnes libres ne sont pas concernées et qu'une personne qui serait mise en examen doit être entendue physiquement par le juge d'instruction dans un délai de quatre mois.