J'essaierai d'orienter un peu cette sagesse, même si je respecte la position du rapporteur. À l'issue du cheminement personnel que je vous ai indiqué, je pense sincèrement que l'attribution de 1 hectare permettrait d'envoyer aux communes du monde rural un signal beaucoup plus fort que le fait de leur attribuer 1 % de leurs surfaces artificialisées, alors que l'impact des deux mesures en matière d'artificialisation est comparable – il correspond environ à 35 000 hectares, si l'on ne prend pas en compte le fait que les communes ne disposant pas des documents d'urbanisme prévus ne bénéficieront pas de la garantie.
L'attribution de 1 hectare a, enfin, l'avantage de la lisibilité. Le travail pour limiter les effets de bord et les autres difficultés sera plus simple pour cette mesure que pour l'attribution de 1 %.