Initialement, le Gouvernement et moi-même ne soutenions pas cette garantie de 1 hectare. J'étais favorable à une surface minimale d'artificialisation égale à 1 % des espaces déjà urbanisés, idée que j'ai défendue dans l'hémicycle du Sénat. Je considère que la noblesse de la politique, c'est aussi d'être capable de se ranger à d'autres arguments. Ma position a évolué, car j'ai mesuré toute la portée de l'argument principal des sénateurs : il faut envoyer un message clair et lisible à tous les territoires.