En effet, imaginez que, dans vos communes, habitent depuis trente ou quarante ans des ressortissants portugais, italiens ou de toute autre nationalité. Ils auraient donc moins le droit d'acheter la parcelle contiguë à la leur qu'un ressortissant français. Du reste, Mme Paris a dit que c'était parce que les propriétaires étaient français qu'ils géraient bien leurs parcelles. Malheureusement, ce n'est pas toujours le cas – nous l'avons constaté lors des opérations de débroussaillement.