Ils nous disaient : « Vous êtes sérieusement en train de discuter de ça à l'Assemblée nationale ? » J'ai dû leur dire que c'était sérieux : puisque les macronistes ont mis ce sujet à l'ordre du jour, il nous faut en discuter. Passée l'hilarité, ceux que j'ai pu joindre depuis hier soir m'ont tous dit la même chose : ils sont pour les libertés communales. Certains mettent déjà le drapeau, d'autres ne le mettent pas, et ils voudraient que cela continue de cette manière.