On peut vouloir récrire l'histoire mais, heureusement, ou malheureusement, elle ne se réinvente pas. Nous avons vécu une crise sanitaire sans précédent et nous ne pouvons pas faire comme si elle n'avait pas eu lieu. Nous devons préserver les outils qui nous protégeront demain d'une nouvelle crise sanitaire – et je suis sûr que vous êtes de cet avis. C'est pourquoi je vous demande de ne pas abroger la loi de 2021 et pourquoi il faut considérer que le problème de la réintégration est résolu.
Pour ce qui est du 24 novembre dernier, je suis obligé de vous dire, mesdames et messieurs les députés de la NUPES et du RN, que vous aviez tort. Vous n'aviez pas d'arguments scientifiques et encore moins d'arguments éthiques.