Votre décision a aggravé la souffrance des personnels soignants, dévoués mais exténués. Elle a provoqué des surcharges de travail, ainsi que le report ou l'annulation de certaines interventions. Elle a abandonné à leur sort les personnes âgées de plus en plus nombreuses, qui n'ont de lien extérieur que l'aide à domicile qui leur prodigue des soins, tout en assurant leur écoute et leur accompagnement. Votre décision a jeté au chômage tous ces soignants qui, pour certains, ont dû se reconvertir en raison de problèmes financiers.
Les dégâts que vous avez causés sont très graves, encore plus outre-mer.