Vous êtes cohérents : vous n'aimez pas les contre-pouvoirs ; vous n'aimez pas que l'on puisse contester vos décisions, qui sont complètement idéologiques. Et je comprends pourquoi : cela vous met face à vos responsabilités.
Les associations ne sont pas seules à contester votre proposition de loi répressive. La CNCDH relève qu'elle « aura […] pour conséquence immédiate et injuste de stigmatiser et fragiliser encore plus les personnes vulnérables » et « [exposera] la France à une condamnation par la Cour européenne des droits de l'homme ». Voilà ce que vous êtes en train de faire, et vous voudriez en sus faire taire les associations qui se démerdent avec les gens que vous avez plongés dans la pauvreté ?