Les Jeux olympiques et paralympiques ne sauraient être un prétexte au tout-sécuritaire. Outre la surveillance algorithmique, nous aurons droit à des scanners corporels à ondes millimétriques, à l'équivalent de la population parisienne passé au crible des enquêtes administratives de sécurité, et à la criminalisation – il n'y a pas d'autre terme – des militants et des supporters dans les stades.
Les Jeux ne sauraient être un prétexte à des mesures antisociales – je pense évidemment à la généralisation massive du travail le dimanche.