Il est défavorable également. Ce qui nous a motivés pour prendre cette mesure, ce n'est certainement pas la raison que vous évoquez – croyez-moi – mais la volonté de lutter contre des formes d'incivilité qui viennent perturber le déroulement des compétitions sportives. Nous constatons ce phénomène de plus en plus souvent. Je ne donnerai qu'un exemple : le Tour de France. Nous y avons observé ces comportements dangereux pour la sécurité des athlètes.
S'agissant de la dimension Bisounours évoquée par M. Houlié, je rappelle que toutes ces sanctions sont prises sous le contrôle du juge. Or un juge ne sanctionnerait pas un Bisounours.