Quoi qu'il en soit, cet article entraînerait un net recul des libertés fondamentales. L'action consistant à interrompre un match à Roland-Garros en s'attachant au filet ne porte pas atteinte à l'intégrité des personnes. Au contraire, elle vise à préserver les générations futures des conséquences de la catastrophe environnementale.
Par conséquent, nous demandons que cet article ne s'applique pas aux personnes qui agissent dans le cadre d'une action militante et non violente, sans incitation à la haine ou à la discrimination, et qui exercent simplement leur droit à la liberté d'expression et de réunion pacifique.