Qui plus est sans informer, comme le rappelle M. le ministre. Vous considérez que l'enregistrement et la diffusion de vidéos posent moins de problèmes lorsqu'ils sont réalisés par des personnes privées, quelles qu'elles soient et en l'absence de tout contrôle, que lorsqu'ils sont le fait de la puissance publique. Cette question mérite d'être posée à l'Assemblée. Pour notre part, nous considérons que cela pose quelques difficultés, y compris en matière de protection des données et de l'image.