Je présente tout d'abord mes vœux de rétablissement au rapporteur Vuilletet, souffrant, et au nom duquel je vous donnerai donc l'avis de la commission.
L'amendement part d'une bonne intention, mais son application soulève des difficultés opérationnelles.
Tout d'abord, il est matériellement très difficile – si ce n'est impossible – de former 45 000 volontaires en tout juste quinze mois. Imposer aux volontaires d'avoir suivi une formation aux premiers secours reviendrait donc, en réalité, à renoncer à faire appel à eux au motif qu'ils n'auraient pas pu suivre la formation, alors que nous avons besoin d'eux pour organiser les Jeux olympiques.