Mon intervention se fonde sur l'article 100, relatif à la bonne tenue de nos débats.
Je tiens à revenir sur le moment que nous venons de vivre. J'aurai une première remarque à l'attention des députés du groupe Renaissance et de leur présidente. La sincérité de votre combat sur l'égalité entre les femmes et les hommes ne serait pas mise en cause si, quand une personne défend la parole des femmes, vous ne vous leviez pas pour la huer.