Mathilde Panot :
Monsieur le garde des sceaux, dans n'importe quelle autre démocratie, vous auriez dû démissionner. Pourtant, vous vous maintenez dans votre poste par le fait du Président, qui s'apparente au fait du prince, car nous sommes sous la Ve République. Votre geste est d'autant plus grave que M. Marleix soulignait un fait qui doit tous nous interpeller : la mise en examen d'un ministre de la justice. Je vois que vous êtes très occupé à discuter avec vos voisins,…