Cela est d'autant plus condamnable. Ayant le privilège de n'être pas député, il ne sera pas convoqué par le bureau de l'Assemblée nationale pour se voir infliger une sanction. Dans notre grande indulgence et avec le souci de poursuivre un débat parlementaire apaisé, nous souhaitons qu'il présente, en toute simplicité, des excuses, que le président Marleix accepterait sans doute.