Huit mises en examen, dont celles du secrétaire général de la présidence de la République – excusez du peu ! – et de l'actuel garde des sceaux – pardonnez-moi, monsieur le ministre – accusés l'un et l'autre de prise illégale d'intérêts. Douze enquêtes en cours, dont l'une concerne le ministre du travail, visé par une accusation de favoritisme.