Les QER ont certes pour fonction d'évaluer la radicalisation des individus, mais aussi leur capacité de passage à l'acte violent.
Nous avons parlé de l'information que doit recevoir la directrice de la maison centrale, mais nous sommes bien d'accord que cette même information doit aussi être transmise au directeur interrégional des services pénitentiaires par l'intermédiaire des GED. La maison centrale d'Arles ne comptait que quatre TIS au moment où le drame s'est joué. On ne peut pas dire qu'elle était noyée sous leur nombre.