…il ne faut rien changer ! M. le rapporteur, quant à lui, est beaucoup plus ouvert ; il reconnaît qu'il existe un véritable problème.
Cet amendement n'est pas le produit d'un cerveau fertile : il découle d'un avis de l'Autorité de la concurrence du 31 mars 2015, autorité dont il vise, non pas à affaiblir, mais à préciser et à renforcer les pouvoirs. Le problème de fond, nous le verrons lors de l'examen des articles suivants, est d'ordre structurel, et pas seulement pour ce qui concerne les produits agroalimentaires – nous y reviendrons.
J'espère donc, chers collègues, que vous suivrez les suggestions de l'Autorité de la concurrence et que vous renforcerez ses pouvoirs en adoptant cet amendement.