Cet amendement a pour objectif d'alerter la représentation nationale sur le caractère désuet des dispositifs anticoncentration en vigueur. En effet, la loi de 1986 n'est plus adaptée à la réalité actuelle – le numérique n'y est pas pris en compte. Globalement, notre législation n'est plus pertinente.
Au-delà de la concentration, se pose également la question des propriétaires des médias. Le rôle de la loi n'est pas d'assurer le pluralisme entre milliardaires : il s'agit bel et bien de favoriser des médias qui puissent vivre par eux-mêmes.