Certes, monsieur le rapporteur, il ne s'agit pas de reformer le tribunal de l'Inquisition, mais le nom de « commission d'enquête » indique tout de même que les parlementaires sont amenés à enquêter et, éventuellement, à découvrir des choses…
Monsieur le président, vous avez établi un parallèle avec notre proposition de résolution tendant à la création d'une commission d'enquête relative aux révélations des Uber Files et au rôle du Président de la République. Nous y tenons car nous avons des raisons de penser que quelque chose s'est produit, qui n'est pas normal. En revanche, nous estimons que la présente proposition de résolution n'a d'autre objet que de laver l'honneur du Rassemblement national, accusé de collusion avec les forces étrangères, notamment russes, après que des prêts ont été accordés pour les campagnes électorales de Mme Le Pen.