des familles précaires, qui n'ont généralement pas d'autre choix, pour mettre leurs enfants à l'abri, que d'essayer d'entrer quelque part. En effet, il n'y a pas de place dans les hôtels sociaux ni dans les hébergements d'urgence ; les préfets ne donnent pas de papiers. Ces femmes et ces enfants sont dans une situation de fragilité ou de précarité telle qu'ils se retrouvent parfois à devoir occuper ce type de logement : on ne peut même pas les expulser. Je suis donc très heureux que le Gouvernement soit défavorable à cet amendement, d'une violence et d'une brutalité inouïes.