Parce que nous sommes opposés à l'article 2 et à l'amendement n° 127 , nous proposons de remplacer les mots « qu'il s'agisse » par les mots « qu'il soit question ». Ce n'est qu'un moyen de mettre en cause le fond de ce que vous défendez. Comptez-vous protéger ceux qui spéculent alors que d'autres sont à la rue ? C'est de cela qu'il s'agit, et nous n'aurons de cesse de vous poser cette question.