L'article 1er A vise à criminaliser l'occupation sans droit ni titre et de mauvaise foi d'un immeuble bâti à usage d'habitation. Disons-le clairement : cela a du sens.
Néanmoins, un examen plus approfondi révèle certains écueils qui ne sont pas mineurs, car constitutionnels. Le premier d'entre eux concerne le terme de « mauvaise foi ».