Deux remarques sans lien avec l'amendement, si vous me le permettez, monsieur le président. D'abord, pour ma première venue à la commission des finances depuis le début de cette législature, je dois dire que j'ai été reçu un peu fraîchement. J'avais plutôt été habitué à des mots d'accueil gentils.
Ensuite, en étant à mon troisième mandat de parlementaire, je peux dire que je n'ai jamais vu avant ce soir un tel irrespect à l'égard de la présidence de la commission, quelles que soient les configurations politiques. J'ai été choqué du ton qui a été employé. Vous me connaissez, donc vous savez que ma remarque est dénuée de portée politique. Le climat qui règne ici est regrettable. La présidente de l'Assemblée est respectée par toutes les oppositions. Il doit en être de même dans toutes les commissions, c'est important pour la démocratie.