C'est enfin celui de remises en cause répétées, dans plusieurs États de l'Union européenne, du droit à l'avortement : en Pologne, où il n'est plus possible d'avorter lorsque des malformations sont constatées sur le fœtus ; en Hongrie, où l'on exige des femmes qui souhaitent pratiquer un avortement qu'elles entendent préalablement les battements du cœur de l'enfant à naître.