15 interventions trouvées.
Franchement, arrêtons la plaisanterie, monsieur le ministre délégué. Allez-vous ouvrir de nouvelles séances pour que nous allions jusqu'au bout du débat et pour que nous votions ou allez-vous appliquer le 49.3 sans retenir un seul des amendements qui ont été adoptés à une grande majorité dans cet hémicycle ? C'est une question que nous nous posons depuis le début de l'examen du PLF. Ça suffit maintenant ! Nous sommes à trente-cinq minutes de la fin de nos débats…...
Comme M. le ministre délégué, je suis particulièrement étonnée que ces rappels au règlement interviennent, comme cela a déjà été le cas vendredi par deux fois, au moment même où nous discutons du monde rural et du monde agricole. Nous, dans la majorité, nous défendons les agriculteurs et les viticulteurs et nous entendons bien continuer à le faire et voter ces amendements.
Sur l'article 70, alinéa 3. J'aimerais revenir sur la mise en cause que vous venez de faire, monsieur le ministre délégué.
Ce sont ceux qui refusent de dire lesquels des amendements adoptés majoritairement dans cet hémicycle seront conservés dans le projet de loi de finances. Nous ne sommes pas, monsieur le ministre délégué, dans un théâtre ; nous sommes à l'Assemblée nationale.
Sur le fondement également de l'article 70. Monsieur le ministre délégué, je ne comprends pas très bien votre propos. Vous vous tournez vers nos collègues de La France insoumise en évoquant le débat sur L214.
Sur le fondement de l'article 100. Je suis très heureuse de savoir que M. le ministre délégué s'intéresse au contenu de nos échanges, à défaut de s'intéresser aux amendements que nous adoptons.
...arlement que vous alliez actionner l'article 49.3 demain, et que vous alliez même le faire au début des débats sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), selon les informations qui circulent dans la presse. Assumez cet autoritarisme, cette posture qui revient à nier la représentation nationale, et répondez-en devant les Français. La présidente du groupe Renaissance et le ministre délégué prétendent que nous allons poursuivre les débats jusqu'à leur terme, qu'il n'est pas question d'utiliser l'article 49.3. Vous nous mentez effrontément !
Comme vous, monsieur le ministre délégué, j'espère que nous allons pouvoir examiner tous les amendements et aller au terme de nos débats. Cela ne me pose aucun problème. Cependant, vous savez comme moi qu'il existe un délai global pour l'adoption d'une loi de finances : la Constitution prévoit qu'elle doit être adoptée et publiée au Journal officiel avant le 31 décembre. Considérant le rythme de nos travaux et les amendements qu...
Il se fonde sur l'article 54, alinéa 5 du règlement, relatif à l'intérêt du débat. Monsieur le ministre délégué, comme chacun le sait, vous avez obtenu l'autorisation de recourir à la procédure prévue à l'article 49, alinéa 3 de la Constitution lors du Conseil des ministres de mercredi. Nous débattons depuis plusieurs jours et avons adopté des amendements contre l'avis du Gouvernement, concernant les dividendes ou le crédit d'impôt pour les résidents en Ehpad, dans une coalition non pas de refus mais d'ad...
Il se fonde sur l'alinéa 5 de l'article 54 du règlement, relatif à l'intérêt du débat. Monsieur le ministre délégué, précisez votre position. Depuis le début de l'examen du texte à l'Assemblée nationale, vous avez vous-même constaté l'absence d'obstruction ou de coalition de refus. Le choix d'aider les résidents des Ehpad, comme celui de s'attaquer aux superdividendes, ne s'explique pas par une coalition d'obstruction, mais par le succès d'idées défendues par des membres de la représentation nationale dans le...
Il se fonde sur l'article 54, alinéa 5 du règlement de l'Assemblée nationale, relatif à l'intérêt du débat. Monsieur le ministre délégué, cela va faire cinq fois que je pose la question.
Monsieur le ministre délégué, je vous propose que nous fassions une courte suspension de séance pour en discuter,…
Le sujet, c'est qu'il n'y a qu'un censeur : le Gouvernement, avec le 49.3. Monsieur le ministre délégué, je ne vous demande qu'une chose : allez-vous décevoir nos compatriotes, les familles…?