Les amendements de Claudia Rouaux pour ce dossier
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On peut tout entendre dans l'hémicycle, mais parler de privilèges pour des personnes qui travaillent la nuit, le week-end ou en horaires décalés, ce n'est pas possible !
Vos propos ont dû dépasser votre pensée. Nous parlons de personnes qui travaillent dur ; leur seul privilège était de pouvoir partir un peu plus tôt que l'âge légal. Tout à l'heure, quelqu'un a dit qu'au moment de choisir une carrière on ne regarde pas l'âge de départ à la retraite : c'est faux ! Au contraire, on choisit souvent une carrière p...
Je rejoins Mme Dalloz sur un seul point : oui, nous voulons tirer les régimes de retraite vers le haut. Bien sûr, plein d'autres métiers méritent davantage de reconnaissance. En abordant le sujet de la pénibilité par l'angle des métiers et non par celui des critères, on se trompe. Plusieurs métiers sont bien connus pour leur pénibilité – je pen...
Tout d'abord, monsieur le président, il nous semble que le son des micros situés dans l'hémicycle est trop faible.
Je tiens à le signaler ; il serait bon de régler ce problème, surtout au moment où j'ai la parole !
Merci, monsieur le président. Je signalerai simplement que les régimes spéciaux étaient nés pour compenser les contraintes ou la pénibilité de certains métiers. Le premier régime qui a été supprimé, c'est celui de la SNCF et en particulier celui des conducteurs de trains, métier que je connais très bien. Être conducteur de train, c'était travai...
Et ce qui se produit, alors même que nous devons développer les services publics, c'est qu'il n'y a plus de conducteurs de trains !
Il y a une carence terrible au niveau des TER – transports express régionaux – mais aussi des grandes lignes. Or si vous touchez à ces régimes spéciaux, celui de la RATP et bien d'autres, ce qui s'est passé à la SNCF arrivera demain dans les autres services publics, qui connaîtront les mêmes pénuries.