Publié le 9 février 2024 par : M. Ghomi, Mme Lemoine, M. Rudigoz, M. Ledoux, M. Lavergne, M. Parakian, M. Patrier-Leitus, M. Bordat, M. Ardouin, Mme Rilhac, M. Pellerin, M. Pacquot, M. Sitzenstuhl, Mme Alexandra Martin, Mme Klinkert, Mme Vidal.
Compléter l’alinéa 5 par les mots :
« en particulier au sein de l’Education nationale afin de prévenir les risques de dérives sectaires sur les adolescents ; »
Les adolescents représentent un public à risque de par leur exposition aux réseaux sociaux.
La Miviludes estime le nombre de mineurs concernés par les dérives sectaires entre 50.000 et 60.000.
En effet, leur vulnérabilité, physique et psychologique, leur dépendance matérielle les désignent comme une proie facile pour des mouvements porteurs de dérives sectaires, lesquels génèrent des situations intolérables de maltraitance, de privation de soins, de carence éducative ou de défaut de socialisation.
Cette réalité est amplifiée par les outils numériques nécessitant ainsi de faire de la prévention à l’école.
Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.