Publié le 26 janvier 2023 par : Mme Chatelain, Mme Arrighi, Mme Batho, M. Bayou, Mme Belluco, M. Fournier, Mme Garin, M. Iordanoff, M. Julien-Laferrière, Mme Laernoes, M. Lucas, Mme Pasquini, M. Peytavie, Mme Pochon, M. Raux, Mme Regol, Mme Rousseau, Mme Sas, Mme Sebaihi, M. Taché, Mme Taillé-Polian, M. Thierry.
Après l’alinéa 56, insérer l’alinéa suivant :
« c) Des actions de sensibilisation et de prévention des pathologies et affections psychiques en lien avec les syndromes d’épuisement professionnel. »
La souffrance au travail est un problème réel dont l’importance est de plus en plus reconnue. L’épuisement professionnel, communément appelé « burn-out » peut concourir à de véritables souffrances psychologiques allant parfois jusqu’au suicide. Environ 3,2 millions d’actifs (soit près de 12 % de la population active) risquent un épuisement psychique au travail. Les cas d’épuisement professionnel touchent les salarié·es dans toutes sortes d’activités, qu’ils ou elles soient employé·es, cadres, artisans ou agriculteur·trices.
L’épuisement professionnel s’accompagne souvent de sorties ou des parenthèses dans la vie active des personnes touchées. Pour le groupe écologiste, il est important de reconnaître ces situations d’épuisement professionnel et le fonds de prévention doit pouvoir concourir à prévenir et résorber ces situations.
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