Publié le 6 octobre 2022 par : Mme Sebaihi, Mme Chatelain, Mme Arrighi, M. Bayou, Mme Belluco, M. Ben Cheikh, M. Fournier, Mme Garin, M. Lucas, M. Iordanoff, M. Julien-Laferrière, Mme Laernoes, Mme Pasquini, M. Peytavie, Mme Pochon, M. Raux, Mme Regol, Mme Rousseau, Mme Sas, M. Taché, Mme Taillé-Polian, M. Thierry.
« Le Gouvernement remet au Parlement avant le 1er janvier 2024 un rapport concernant l’impact de l’habitat indigne sur la santé physique et mentale des occupants. »
Cet amendement demande au Gouvernement d’éclairer la situation des occupants d’habitats indignes au sens de la loi MOLLE de 2009. Selon le rapport de la fondation Abbé Pierre de 2022, plus d’un million de ménages vivent dans des conditions très difficiles. Cela représente près de 3 millions de Français. Ces conditions d’habitat indigne recoupent, pour exemple, les habitats non ventilés, humides, avec une hauteur sous plafond insuffisante ou menaçant de s’écrouler.
Ces conditions mènent nécessairement à une dégradation de l’état de santé physique et mentale de ses occupants. Afin d’adapter en conséquence les politiques de santé publique, nous avons besoin d’un avis éclairé et chiffré sur le sujet.
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