Publié le 7 mai 2024 par : M. Jumel, M. Chassaigne, Mme Bourouaha, M. Bénard, M. Castor, M. Chailloux, M. Dharréville, Mme Faucillon, Mme K/Bidi, M. Le Gayic, Mme Lebon, M. Lecoq, M. Maillot, M. Monnet, M. Nadeau, M. Peu, Mme Reid Arbelot, M. Rimane, M. Roussel, M. Sansu, M. Tellier, M. William.
I. – À l’alinéa 3, après le mot :
« technique »,
insérer les mots :
« et maritime ».
II. – En conséquence, au même alinéa, après le mot :
« agriculture »,
insérer les mots :
« , de la pêche, de l’aquaculture »
Le présent amendement vise à réaffirmer la nécessité de ne pas oublier les métiers de la pêche dans les objectifs de formation des futurs actifs.
La pénurie de main-d’œuvre est particulièrement prononcée dans le secteur de la pêche. Les difficultés de recrutement concernent tous les types de pêche et de fonctions. L’Observatoire prospectif des métiers et des qualifications de la pêche d’Ocapiat a d'aileurs établit qu'entre 2015 et 2020, les effectifs de pêche avaient diminuer de 8%, notamment dans la petite pêche côtière, pourtant plus durable.
Afin de préserver notre souveraineté alimentaire sur le domaine de la pêche, nous devons intégrer les métiers de la mer dans nos objectifs de formation.
Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.