Publié le 17 mai 2023 par : Mme Chatelain, Mme Arrighi, M. Bayou, Mme Belluco, M. Ben Cheikh, M. Fournier, Mme Garin, M. Iordanoff, M. Julien-Laferrière, Mme Laernoes, Mme Pasquini, M. Peytavie, Mme Pochon, M. Raux, Mme Regol, Mme Rousseau, Mme Sas, Mme Sebaihi, M. Taché, Mme Taillé-Polian, M. Thierry.
Supprimer la seconde phrase de l’alinéa 3.
Au vu du manque de consultation de la représentation nationale dans l’élaboration de cette Loi de Programmation Militaire et de l’incertitude qui pèse encore aujourd’hui sur la présence française en Afrique, nous ne pouvons pas considérer que toutes les leçons aient été tirées de nos opérations extérieures. L’échec des opérations Serval et Barkhane doit être pleinement reconnu, et la manière d’appréhender les relations entre la France et le continent africain doit évoluer, pour aller vers un équilibre et des bénéfices mutuels.
Alors que la France prévoit de laisser environ 2 500 militaires dans la région, on ne connaît pas encore précisément la forme que prendra le nouveau dispositif. En l’état, le groupe “Écologiste-NUPES”demande des éclaircissements sur l’emploi futur de nos armées.
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