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...tères d'implantation le plus granulaires possible, en laissant aux élus, commune par commune, département par département, la possibilité de fixer leurs propres règles, dans la mesure où aucun territoire n'est identique à un autre. La question n'est donc pas de refuser le compromis, d'autant que l'on peut entendre la proposition du présent amendement, qui ferait passer la distance minimale de 500 mètres à 600 mètres : cela reste dans la moyenne de l'éloignement. Comme nous l'avons déjà rappelé, la philosophie du présent projet de loi est de redonner les clefs du camion aux élus locaux et de s'adapter aux particularités des territoires. Il n'y a donc pas de raison de voter cet amendement.
...ar un, au regard du maillage de proximité qu'est la commune : dans ces conditions, il est possible d'apprécier l'intégration paysagère de chaque projet. Autre exemple, que faire pour les parcs qui couvrent la frontière entre deux départements ? Cette situation est assez fréquente – ma circonscription partage ainsi un parc commun avec le Loir-et-Cher : l'éloignement des éoliennes sera-t-il de 500 mètres d'un côté, et d'un kilomètre de l'autre ? Cela n'aurait pas de sens. Revenons à la maille communale, revoyons les projets un par un, et soumettons-les à l'acceptation ou au rejet un par un. Le cas échéant, ils pourront être rejetés : telle est la liberté démocratique.