122 interventions trouvées.
Je souhaite faire résonner ici les mots de Yaacov, un père de famille israélien dont la fille est détenue en otage par le Hamas. Suspendu à l'espoir d'avoir des nouvelles de sa fille, il a déclaré : « À quoi ça sert de nous entretuer ? La vengeance n'apporte rien. […] Il y a des morts à Gaza, des gens qui pleurent aussi. En quoi est-ce utile ? La meilleure des choses, c'est de s'asseoir, de discuter. » Entendons cette voix pour la paix, celle d'un homme dont la vaillance inspire un profond respect.
C'est dans ce principe, celui de notre commune humanité, que nous devons puiser le courage de la paix. Madame la Première ministre, nos larmes ne peuvent être à géométrie ni à géographie variables. Ainsi, nous pleurons les victimes des atroces crimes de guerre du Hamas tout comme nous pleurons les milliers de morts des crimes de guerre commis par le gouvernement israélien.
Au Hamas, ils sont pires que des animaux ! Car les animaux tuent pour se nourrir, eux tuent pour tuer !
Ainsi Benyamin Netanyahou expliquait-il en 2019 aux députés du Likoud : « Quiconque veut contrecarrer la création d'un État palestinien doit soutenir le renforcement du Hamas et lui transférer de l'argent. Cela fait partie de notre stratégie. » Voilà à qui vous apportez votre soutien « inconditionnel ».
Le groupe Les Républicains réaffirme avec force son soutien à Israël et à sa population dans cette guerre contre les barbares terroristes islamistes du Hamas.
Nous rappelons sans détour le droit d'Israël à se défendre et à exister. Cet État affronte aujourd'hui un groupe djihadiste qui ne veut rien d'autre que sa destruction. Le Hamas a provoqué cette guerre par son attaque ignoble contre la population israélienne : des centaines d'hommes et de femmes, d'enfants et même des bébés ont été assassinés avec une violence et une cruauté insoutenables, tués sauvagement dans les rues, dans leur maison ou dans des lieux de fête et de vie. Et certains autres ont été pris en otage par ces monstres fanatiques. Si j'en parle avec tant d'ém...
Honte à ceux qui, dans cet hémicycle, refusent d'appeler les partisans du Hamas des terroristes.
Qui peut ignorer que la véritable motivation du Hamas est de mettre fin aux accords d'Abraham et d'empêcher tout progrès dans le processus de paix et de normalisation ? Qui peut ignorer que le Hamas ne se bat pas pour les Palestiniens, mais pour le djihad ? N'oubliez jamais que c'est au nom du djihad que nous avons subi la tuerie du Bataclan, l'attentat de Nice, les assassinats de Samuel Paty et de Dominique Bernard, et tant d'autres crimes de sinis...
Les islamistes sont nos ennemis et les ennemis de la démocratie. Le Hamas ne veut pas la paix parce que son fonds de commerce, c'est la violence et la destruction. Ces terroristes détournent les aides internationales pour soutenir leur guerre plutôt que leur population ; ils osent même se servir du mal qu'ils font à leur propre peuple, comme lors de la frappe sur l'hôpital – dont ils sont responsables
…et à financer des manuels scolaires dans lesquels le Hamas apprend aux enfants la haine d'Israël.
Car il est en impératif de lever tous les doutes sur l'utilisation de ces sommes, ce qui n'empêchera pas de maintenir à l'avenir des aides humanitaires à destination des civils. Madame la Première ministre, l'heure est à l'action et pas aux hésitations. Pourquoi n'avoir pris aucune mesure pour sanctionner le Hamas ? Pourquoi ne pas avoir convoqué l'ambassadrice de Palestine en France, qui traite Israël d'État terroriste et qui ignore les crimes du Hamas, alors qu'elle ferait mieux de se battre pour que la population palestinienne ne vive plus sous le joug de ces terroristes ? Le Président Macron va enfin se rendre en Israël, après Joe Biden, Olaf Scholz et Rishi Sunak. Il était temps parce que, depuis le 7...
Le 7 octobre dernier, cette interminable tragédie a pris un cours décisivement nouveau et d'une gravité exceptionnelle : Israël s'est trouvé confronté à une agression paramilitaire de première grandeur, menée par un Hamas résolu à piétiner tous les principes, toutes les règles, tous les usages régissant les relations entre les peuples, que ceux-ci soient en guerre ou en paix.
Si les mots ont un sens, il est clair que l'agression conduite par le Hamas est à la fois terroriste, constitutive d'un crime de guerre généralisé et adossée à un discours à caractère génocidaire assumé.
Le Hamas met en scène les pires violences sur les populations dans le seul but d'effrayer et d'intimider : c'est du terrorisme. Le Hamas ne fait la guerre qu'aux civils, c'est la définition même et dans son extension maximale du crime de guerre ! Les fidèles du Hamas n'hésitent pas à appeler non pas uniquement à la disparition de l'État d'Israël, mais à l'élimination des Juifs en tant que Juifs !
Mais la question fondamentale, que met sous une lumière brutale l'initiative sanglante du Hamas, c'est celle des moyens propres à assurer la sécurité à long terme d'Israël. Et c'est de la réponse à cette question que doivent dépendre nos réactions à court et à moyen terme, comme celles de l'État hébreu. Comment un État de 20 770 kilomètres carrés, peuplé de moins de 7 millions de Juifs, fer de lance d'une communauté humaine de près de 13 millions de personnes, pourrait-il espérer vivre dur...