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...sées par certains. Le dire, c'est se battre pour faire en sorte que, dans un monde si tourmenté, la désescalade soit au cœur des actions du Président de la République et de la diplomatie française. C'est ainsi que nous garantirons la sécurité des ressortissants français qui sont encore, à l'heure où nous parlons, bloqués à Gaza ; c'est ainsi que l'aide humanitaire parviendra jusqu'aux populations civiles, principales victimes du conflit. Mesdames et messieurs, la situation au Proche-Orient nous oblige tous. Nous devons mesurer l'écho des discours qui sont tenus ici, en France. Le pays des Lumières, c'est celui qui se doit d'éclairer le chemin de l'avenir en exhortant particulièrement à la tolérance, au respect de la différence et au vivre ensemble. Dans certains coins du monde, il est devenu ...
Nous le disons sans ciller : le monde ne sera pas en paix tant que la vie d'un Israélien sera en danger et tant que demeurera en vie le dernier des terroristes islamistes. Nous le disons non moins clairement : toutes les mesures qui permettent d'aider et d'épargner les civils et les journalistes à Gaza doivent être prises ,
...accusant Israël de pratiquer un régime d'apartheid. Cette mascarade n'a que trop duré. Face à elle, nous, européens et républicains convaincus, nous continuerons à rester unis, à emprunter le seul chemin qui vaille, celui de la République. Nous ne tomberons jamais dans le piège de la division. Ce chemin, c'est celui que nous devons continuer à emprunter ensemble – autorités religieuses, société civile, élus – sans stigmatiser, sans confondre islam et islamisme, sans céder à la terreur que recherchent ceux qui rêvent de nous désunir. Nous continuerons à l'emprunter avec tous les Français qui savent que ce qui se joue actuellement, c'est une part de notre liberté et de notre métier d'homme. De Sdérot à Arras en passant par Bruxelles, c'est le même ennemi de nos démocraties et de nos valeurs que...
Il y a quelques semaines encore, Israël et certains pays arabes avaient entrepris de se mettre en route vers une normalisation de leurs relations, faisant naître l'espoir de la paix dans cette région du Proche-Orient, berceau de plusieurs civilisations, mais aussi théâtre de bien des luttes armées. Malheureusement, pour une organisation terroriste islamiste, le Hamas, sans doute soutenue par des régimes guidés par la haine d'Israël, cette promesse d'apaisement était insupportable. Le 7 octobre dernier, cette terre du Proche-Orient, celle d'Israël, a une nouvelle fois été baignée par le sang de plusieurs centaines d'innocents – bébés, f...
... force ici qu'il faut voler vers l'Orient compliqué avec des idées simples. Ces idées simples sont les principes clairs et éprouvés de l'indépendance, de l'équidistance et de la constance. C'est la déclinaison de ces principes – je conclurai sur ce point – qui m'a guidée pour proposer, il y a quelques semaines, un nouvel outil juridique de nature à protéger les libertés humaines, la diversité des civilisations et les richesses culturelles du monde, et à aider au règlement pacifique des conflits. Au Proche-Orient, à l'est de l'Europe ou dans la bouillonnante Afrique, le chemin de la paix ne pourra passer que par la reconnaissance préalable de deux évidences : l'existence des nations contribue à la diversité du monde, donc à la richesse de l'humanité ; la considération des peuples et le respect ...
Sans doute faut-il encore une fois le clamer haut et fort ici, à la tribune de l'Assemblée nationale : oui, nous condamnons, sans ambiguïté et sans équivoque, le Hamas et ses effroyables actes terroristes commis à l'encontre d'Israël et des civils israéliens.
Cette gauche est toujours prête, sous prétexte qu'on manifeste dans les rues de quelques capitales, à appeler notre diplomatie à baisser la garde, à se ranger dans le camp de ceux qui ne veulent pas prendre parti entre les uns et les autres. « Tous victimes », dit-elle. Des civils meurent – c'est terrible et nous devons nous battre pour qu'ils bénéficient de l'aide humanitaire dont ils ont impérativement besoin –, alors elle ne choisit pas entre les roquettes des nouveaux négationnistes et les missiles d'un État qui se défend,…
...oristes du Hamas avaient semé la désolation dans leur folie meurtrière d'une cruauté impensable. Non, nous n'oublierons rien ! Nous n'oublions pas non plus qu'Israël et les Israéliens sont les premières victimes de ce drame : ce qui s'est passé le 7 octobre en Israël est un immense pogrom comme nous pensions ne jamais en revivre. Nous n'oublions pas qu'Israël utilise les armes pour protéger les civils israéliens alors que le Hamas utilise les civils palestiniens pour protéger ses armes. Cela fait une grande différence !