Les amendements de Yoann Gillet pour ce dossier
14 interventions trouvées.
La Nouvelle-Calédonie est un joyau français au cœur du Pacifique Sud. Alors que nos compatriotes y appellent de leurs vœux, depuis des décennies, un avenir de paix et de démocratie, 20 % d'entre eux, viscéralement attachés à leur territoire, à son identité, à ses cultures, sont privés de l'exercice de leur droit fondamental : voter. Le scrutin ...
Nos compatriotes calédoniens, dans leur diversité, méritent que la situation s'apaise, autant que ce territoire mérite un rassemblement durable. Dans cette situation délicate, nous devons œuvrer ensemble en vue d'apaiser les tensions et de favoriser le dialogue : ce n'est que de cette manière que nous pourrons construire une solution durable po...
En 2027, ils pourront compter sur une femme d'État soucieuse de leur présenter des propositions consensuelles, constructives et respectueuses de la diversité des territoires. C'est avec tous les Français de Nouvelle-Calédonie, de toutes origines et de toutes opinions ,
qu'elle entend construire un avenir stable sous le drapeau tricolore. Le groupe Rassemblement national votera pour ce texte, qui vise simplement à permettre à des Français de voter en France.
S'il le fallait, cette motion de rejet démontre l'incohérence de la NUPES. Alors qu'en métropole, à bien des égards, vous défendez l'indéfendable et prônez le droit de vote des étrangers…
…vous vous opposez aujourd'hui à un texte qui vise à donner le droit de vote à des Français dans leur propre pays. La Nouvelle-Calédonie, bien que géographiquement éloignée de la métropole, n'en est pas moins un territoire français où, pour des raisons historiques, un nombre important de nos compatriotes, viscéralement attachés à leur territoi...
Cette motion de rejet ne démontre pas seulement l'incohérence de la NUPES. Elle symbolise aussi la volonté de ses auteurs d'amplifier des tensions…
…dans un climat d'extrême violence où, au contraire, un apaisement est nécessaire. En 1958, en 1987, en 2018, en 2020 et en 2021, les Calédoniens se sont exprimés. Ils ont affirmé à cinq reprises leur volonté de rester français. Pour autant, la France doit évidemment prendre en compte l'existence d'une forte minorité qui s'exprime en faveur de...
Nous sommes réunis pour débattre d'un projet de loi constitutionnelle qui vise à donner à nos compatriotes calédoniens la possibilité de participer à la vie démocratique du territoire où ils vivent, du territoire qu'ils chérissent. La Constitution française, pilier de notre démocratie, garantit en son article 3 le caractère « universel, égal et...
Ils pourront compter sur une femme d'État soucieuse de leur présenter des propositions consensuelles, constructives et respectueuses de la diversité du territoire. D'ici là, le calme et le dialogue doivent prendre le dessus.
La situation est assez pénible, ce soir. Nous considérons qu'il est nécessaire de travailler à un nouveau statut pour la Nouvelle-Calédonie – les Calédoniens y sont favorables, quelles que soient leurs positions – et nous estimons qu'il eût été plus intelligent de la part du Gouvernement de procéder à des modifications dans le cadre d'un accord...
Madame Chikirou, vous n'avez pas de leçons à nous donner en la matière. Pour notre part, nous sommes très clairs : nous appelons au calme.
J'aurais bien aimé que vous en fassiez de même. Or, depuis le début, vous ne cessez de jeter de l'huile sur le feu.
Nous ne saurions soutenir ces amendements, qui reflètent une vision sectaire et unidirectionnelle ne tendant qu'à empêcher des Français de voter sur un territoire français. Ce n'est pas acceptable. Madame la présidente, nous aimerions pouvoir avancer au lieu d'avoir à discuter de ces amendements d'obstruction.