Les amendements de Sylvain Maillard pour ce dossier
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Pas l'article 49, alinéa 3, en tout cas ! Je viens de le lire, il ne concerne absolument pas la question dont nous discutons.
Ma collègue affirme que je me trompe, alors je lui réponds. « Lors de la discussion générale des textes… »
Le temps imparti à l'examen du PLFSS est comparable à celui alloué les années précédentes, et nous avions réussi à aller au bout du texte. Certes, il n'y avait pas autant de motions de rejet préalable, lesquelles font perdre beaucoup de temps. Madame la présidente, le groupe Renaissance vous demande de poursuivre l'examen du texte. Ne perdons ...
Sur l'article 100, relatif à la bonne tenue de nos débats. Je rappelle d'abord que ceux-ci se sont bien déroulés jusqu'à présent.
Je suis ravi d'accueillir notre collègue Corbière, qui vient dans l'hémicycle pour hurler, mais tout allait bien.
Comme bon nombre de mes collègues, je suis présent en permanence depuis hier, et je peux dire en notre nom que nous voulons continuer de débattre. Je vous demande donc, monsieur le président, de permettre que la discussion des amendements reprenne.
Je comprends que cela vous embête de l'entendre ! Nous avons effectué un travail collectif et transpartisan, comme nous l'ont demandé les Français.
Je ne monopolise pas la parole : je dispose de deux minutes. Je souhaiterais revenir sur ce qui vient de se passer.
Nous avons travaillé tous ensemble et sommes parvenus à trouver un équilibre. Au fond, vous trahissez la confiance que les Français nous ont accordée ; ils nous ont demandé de travailler ensemble.
Vous assumerez vos positions devant les électeurs. Je veux que ce soit inscrit au compte rendu et qu'on l'entende : la majorité travaille avec les autres, mais les autres ne tiennent pas leurs…
Les débats se passent bien. M. Ruffin, qui était présent cet après-midi, aurait pu prendre la parole sur ce sujet lorsque nous l'avons abordé. Nous aurions ainsi pu avancer tranquillement dans la discussion – ce que tout le monde souhaite. Si nous commençons à nous disperser, nous n'arriverons pas au bout de l'examen du texte. Restons sur les ...
Sur le fondement du troisième alinéa de l'article 100, madame la présidente. Je regrette que M. Hetzel ait directement mis en cause M. le ministre. On peut ne pas être d'accord sans céder pour autant à l'invective !
Mais surtout, chers collègues, je tiens, en cet instant précis, à saluer un événement inédit : ce soir, à vingt-trois heures dix, le groupe LFI – NUPES vient de défendre les petits actionnaires. Cela méritait d'être souligné !
Peut-être ai-je raté quelque chose, car je vois que la présidente Panot est présente en séance…
Madame la présidente, je veux être certain de bien comprendre. Il me semblait que la séance était suspendue jusqu'à la fin de la conférence des présidents. Or je n'ai pas eu d'informations à ce sujet. La conférence des présidents est-elle bien terminée ?
Je pense, madame la présidente, que nous vivons un moment important. Le ministre délégué a pris la parole, chers collègues, pour vous expliquer le contenu des amendements. Bien sûr, c'est le droit de chacun d'entre nous de voter les amendements qu'il souhaite. Il vous a notamment expliqué qu'il y aurait, en cas d'adoption, 1,5 milliard de moins...
Comme le ministre délégué reprend la parole et vous réexplique ce que vous venez de voter, on comprend qu'il y a un petit flottement d'un côté comme de l'autre de l'hémicycle !
Vous vous dites qu'au fond, vous vous êtes trompés, et voudriez demander à M. le ministre délégué de vous faire revoter– c'est ce que vient de dire l'orateur du groupe Rassemblement national.
Nous sommes ici au Parlement. Je sais que certains de nos collègues débutent, et c'est très bien ainsi…