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Les amendements de Sébastien Jumel pour ce dossier

88 interventions trouvées.

L'inflation flirte avec les 6 %, un niveau que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître. Elle s'enkyste dans la vie des Français. La valse des étiquettes sur les produits de première nécessité frappe surtout les classes populaires et les classes moyennes, celles et ceux pour lesquels les dépenses contraintes – logement, transport, énergie, ...

Pour les salaires et les retraites, vous campez sur votre refus idéologique de toute mesure visant à revaloriser le travail par des hausses de salaires réclamées partout, comme le montre l'éclosion des grèves ; des hausses de salaires indispensables pour remplir les frigos et retrouver la joie d'une sortie en famille, hausses indispensables aus...

Il y a quatre jours, Macron – toujours modeste –, s'est présenté en Vulcain. Nous voyons bien, nous, qu'il reste le Vulcain du Touquet-Paris-Plage, dont le feu bienfaisant est réservé aux riches. Hier ministre, il vantait un modèle dans lequel un jeune travaille 70 heures en étant payé au SMIC, avec la fierté de pouvoir s'acheter une cravate. N...

Il s'agit non pas d'un débat enflammé, madame la rapporteure, mais d'un débat de fond. Tout à l'heure, lors de son apparition furtive en début de séance, M. Le Maire a indiqué au groupe GDR – NUPES – dont la composante ultramarine ne vous a pas échappé – qu'il était prêt à discuter avec le Parlement de mesures spécifiques pour les outre-mer en ...

Depuis tout à l'heure, je me demande comment participer à ce débat à la con. On a d'abord une majorité qui refuse idéologiquement de traiter de la question des salaires et qui nous invente une prime à la noix de coco. Et on, à droite, à l'extrême droite, l'extrême argent, qui s'engouffre dans la brèche

pour, d'une certaine manière, poursuivre l'entreprise de dérégulation du code du travail que les marcheurs ont soigneusement commencée au cours de la législature précédente. Vous avez cassé le droit du travail, ce faisant vous avez inversé la hiérarchie des normes.

Pour vous, la loi qui protège, cela n'existe pas : la loi du plus fort est celle que vous privilégiez. Vous instaurez donc tout un tas de mécanismes visant à diviser les salariés. Certes, quand les frigos sont vides, quand les salaires sont insuffisants, tout ce qui est bon à prendre est pris par les salariés, même les primes à la noix de coco,...

Mais cela ne doit pas vous exonérer de répondre à la question centrale de ce débat sur le pouvoir d'achat, à savoir qu'il n'y a rien sur les salaires, rien sur les retraites et rien sur le partage des richesses. Vous misez tout sur la dérégulation et tout sur la loi du plus fort, qui est toujours la meilleure pour vous.