Les amendements de Sandra Regol pour ce dossier

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Nous en venons enfin à la captation d'images et de sons, autour de laquelle nous tournons depuis le début de la soirée. Deux de mes collègues, Cécile Untermaier et Ugo Bernalicis, ont, chacun dans son style, posé une question très simple : quelles sont les limites que nous posons pour protéger au mieux les droits des personnes ? Personne ici n...

Cela signifie, pour reprendre l'exemple cité par Andy Kerbrat, que toutes les personnes équipées de dispositifs d'aide à l'audition pourront être mises sur écoute n'importe quand. Cette intrusion dans l'intimité des personnes dépasse très largement le cadre des investigations nécessaires pour attraper un suspect. Tels sont les enjeux de ces am...

Chère collègue, j'ai bien écouté votre intervention, mais ce n'est pas parce que, selon M. le garde des sceaux, cette technique ne sera employée que dans une dizaine de cas par an que nous ne devons pas nous interroger sur les limites posées à son utilisation. La question de l'efficacité des enquêtes ne doit pas être posée sans celle des limit...

Nous partageons la volonté d'assurer l'efficacité des moyens d'enquête mais nous devons garantir qu'ils respectent le droit des personnes. Monsieur le garde des sceaux, je vous propose donc que nous prenions le temps nécessaire, peut-être à l'occasion d'une suspension de séance, pour trouver cet équilibre dans la rédaction des alinéas 124 et su...

J'ai bien lu le texte et il était inutile de rappeler la liste des lieux où la technique d'activation à distance ne pourra être utilisée – cabinet d'avocat, locaux d'une entreprise de presse, bureaux d'un élu ou autres –, mais le texte ne définit pas le type de matériel concerné et ne précise donc pas le degré d'intrusivité de cette technique. ...