Les amendements de Rodrigo Arenas pour ce dossier

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Être comparé à Guignol n'est pas une insulte pour celles et ceux qui éprouvent du respect pour ce grand théâtre populaire destiné aux enfants ,

Il est curieux de prétendre que les députés de la NUPES auraient peur : nous sommes portés par des millions de personnes qui nous donnent raison.

Dans ce contexte, nous sommes loin d'avoir peur ! La peur est plutôt dans votre camp. D'abord, parce que vous manquez d'imagination. Ce que vous proposez sur les 1 200 euros n'est ni plus ni moins que ce que le ministre Fillon proposait en 2003, à savoir une pension de retraite égale à 85 % du Smic. Vous n'avez en rien innové. En outre, nous ...

Ainsi, avec cette réforme, personne ne bénéficiera des 1 200 euros. C'est exactement ce que ces amendements tendent à rectifier à travers la taxation des superprofits et des superdividendes. Après tout, comme l'a dit mon collègue Tavel, cela revient à faire participer à l'augmentation des pensions celles et ceux qui, lors du sommet de Davos, on...

De même, vous avez précarisé les écoles faute d'avoir embauché suffisamment d'enseignants. Les parents d'élèves sont ainsi contraints de recourir à des cours particuliers pour pallier le manque d'enseignants.

Votre projet, c'est de faire du business sur le dos des Français. Cela doit cesser ! Nous vous donnons rendez-vous le 7 mars, nous verrons bien qui aura peur à ce moment-là !

Cet appel n'a pas été lancé par la NUPES, mais par celles et ceux dont vous êtes censés défendre les intérêts : les millionnaires, les milliardaires et les multimilliardaires, en marge du sommet de Davos, le 18 janvier dernier.

Si vous ne voulez pas défendre les intérêts des salariés, des travailleurs, comme nous le faisons, défendez au moins les intérêts de ceux pour qui vous êtes là ! Tel est le sens de ces amendements.

Pourquoi ne répondez-vous pas aux questions ? Parce que vous n'en avez rien à faire de défendre les intérêts de notre pays et de tous les salariés à travers le monde, qui nous regardent et qui nous enjoignent de ne rien céder sur la réforme des retraites, parce qu'ils ne veulent pas que nous fassions ici ce qui a été fait chez eux !