Les amendements de Marie Pochon pour ce dossier
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Je me permets de revenir sur le débat précédent. En matière de surface agricole utile en bio, il ne s'agit pas de dire « on veut bien » ou « on ne veut pas ». Il y avait des objectifs ; il n'y en a plus…
Ces objectifs en matière de surface en bio et en légumineuses ont été supprimés du code rural hier soir.
On prétend soutenir tous les modèles, mais on laisse le modèle bio s'effondrer. Voilà ce qui est en train de se passer !
J'en viens à la défense de l'amendement de mon collègue Jean-Claude Raux. Nous sommes tous d'accord pour dire qu'il faut former plus et mieux, et que la formation continue est un enjeu majeur et un outil précieux. Pourquoi alors en avoir réduit la portée ? Car c'est bien la conséquence d'un amendement, adopté en commission, qui supprime les obj...
Il y a 38 % de femmes dans cette assemblée ! Où est l'égalité réelle ? Où est la discrimination positive ?
Si nous voulons atteindre la souveraineté alimentaire, nous devons renforcer l'autonomie de notre système agricole, afin de pouvoir faire face au mieux aux chocs et aux crises. Cela nécessite de nous diriger vers des systèmes moins dépendants d'intrants de synthèse, qui, en plus d'avoir des effets collatéraux coûteux pour la société, sont large...
Le renouvellement des générations impose non seulement d'augmenter le nombre d'apprenants dans les formations de l'enseignement agricole, mais également d'améliorer la reconnaissance du travail des femmes dans l'agriculture et de renforcer l'attractivité de tous les métiers agricoles pour celles-ci. Le monde agricole demeure largement masculin,…
…une tendance qui ne va pas en s'arrangeant : alors qu'on comptait 39 % de femmes dans l'agriculture en 1982, elles ne sont plus que 27 % aujourd'hui. Veiller à lutter contre les inégalités femme-homme dans la formation agricole, c'est très concret – je le dis en tant que fille d'une cheffe d'exploitation à qui, toute sa vie, on a demandé où é...
Il s'agit d'un amendement identique visant à supprimer l'alinéa 11. Sa rédaction actuelle est trop vague et ne fournit aucun garde-fou. Les Écologistes soutiennent une recherche publique dédiée à l'intérêt général et non pas une recherche sous-financée qui prendrait le risque d'être soumise aux intérêts lucratifs du secteur privé. Pourquoi pas...
Selon les régions, entre 30 et 50 % des exploitants qui s'installent souhaitent s'investir dans l'agriculture biologique. Ce chiffre nous donne une première idée des besoins de formation dans ce secteur. Si on y ajoute la nécessité d'opérer une transition agroécologique, il faut révolutionner la formation. L'agriculture biologique doit devenir ...
…compte tenu de tout ce qu'ils nous apportent, pour protéger le vivant et la santé publique ou encore économiser l'argent public.