Les amendements de Léo Walter pour ce dossier
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Je voudrais tout d'abord dire ma surprise de retrouver cette proposition de loi dans l'hémicycle : je pensais qu'elle aurait été retirée après le fiasco survenu en commission. Je tiens à rassurer M. de Lépinau : je n'utiliserai pas aujourd'hui le féminin générique. J'ai constaté à quel point être appelé monsieur la rapporteure l'avait angoissé...
Ils considèrent cela comme une entreprise de déconstruction de la nation – excusez du peu ! Je ne reviendrai pas sur l'amateurisme du premier, qui a obligé le second à déposer un amendement de réécriture intégrale de l'article unique.
Je ne répéterai pas qu'ils veulent interdire le point médian là où il n'existe pas – à l'école ou dans les actes d'état civil –, mais aussi là où leur proposition de loi serait inopérante en raison de la liberté académique : à l'université. Je ne soulignerai pas à nouveau l'ineptie de leur argumentaire qui soutient que « je » ou « vous » ne son...
qui assure enfin que les académiciens ayant promu une orthographe qui distingue les gens de lettres des simples femmes « n'ont pas façonné la langue à l'avantage de leur sexe ». Non, je ne le ferai pas ; ce ne serait pas charitable.
Je me contenterai de souligner que pour le Rassemblement national, « le masculin l'emporte sur le féminin » n'est pas une règle de grammaire mal formulée ; c'est une règle tout court, partout et toujours. C'est si vrai que sur la liste des signataires de la proposition de loi figurent en premier les députés masculins, avant leurs collègues fémi...
Monsieur le rapporteur, je terminerai avec un mot latin. Si l'on compare l'impact de nos publications respectives, on constate qu'il s'agit d'un ratio – et pas des moindres.
Je suis heureux de prendre la parole après Mme Lavalette qui vient de s'exclure elle-même de l'arc républicain ! Au cours de cette journée, vous avez inventé l'auto-obstruction ou l'autotrollage – je ne sais pas comment le nommer exactement.
Vous l'aurez noté, nous ne nous sommes pas associés aux amendements de suppression, car nous étions très heureux à la perspective de débattre des amendements que nous avions déposés et qui rendaient cette proposition de loi un peu intelligente.
Je crois néanmoins que le supplice de M. Chudeau a assez duré et qu'il est temps de passer à autre chose. Avant de vous dire que nous voterons donc ces amendements de suppression, je m'inquiète au sujet de M. Pierre Meurin, car l'explication qu'a donnée Mme Le Pen ne permet toujours pas de comprendre pourquoi son nom est le dernier de la liste....