Pourquoi spécialiser un salon pour la police ou pour la gendarmerie quand les besoins en fonctionnaires de l'État sont si nombreux dans tant d'autres domaines tellement les services publics décharnés sont à l'os ? Si on suit la logique des auteurs de cet amendement, il faudrait imaginer des systèmes de reconquête républicaine par quartier avec des salons spécialisés par métier pour y sensibiliser les jeunes, y compris aux métiers d'infirmier, de soins à la personne, etc. Encore une fois, pourquoi réserver cette interaction avec la jeunesse aux métiers de la sécurité intérieure ?