Dans ce cas, nous serions ravis de l'entendre.
Nous souhaitons évidemment, ainsi qu'en témoignent nos nombreux amendements que la police se rapproche de nos concitoyens, notamment des plus jeunes, et nous voulons une police qui ressemble à la société dans sa diversité, n'en déplaise à nos collègues du Rassemblement national. Nous considérons simplement – et j'y reviendrai avec l'amendement de ma collègue Francesca Pasquini – que la République n'a rien à reconquérir ; elle a à protéger. Cette distinction dans les termes est, à nos yeux, majeure.
Quoi qu'il en soit, pour l'idée que nous nous faisons du soutien scolaire et pour l'avenir de notre jeunesse, il nous apparaîtrait préférable que ces dispositions ne figurent pas dans ce texte mais qu'elles soient débattues à l'occasion de textes relevant du ministère de l'éducation nationale.