Mais ça fait trois heures que je parle, chère collègue, parce que je suis député, comme vous, qu'il y a des amendements, que nous avons droit à un temps de parole et que nous sommes à l'Assemblée nationale. Ce n'est pas grave ! On va continuer comme ça et nous terminerons tranquillement dans la nuit. En revanche, si vous ne cessez de m'interrompre, on va perdre du temps. Ce que vous êtes en train de faire est contre-productif