Vous le savez parfaitement ; vous répétez, une nouvelle fois, une contrevérité.
Enfin, dans la même intervention, vous soupçonnez la police tout en considérant que c'est dans les quartiers populaires que la délinquance est la plus nombreuse. Vous avez vous-même indiqué que la filouterie de carburant était plus fréquente dans ces quartiers qu'ailleurs ! Vous vous faites une drôle d'idée des quartiers populaires. Moi qui y ai grandi – sans doute comme beaucoup d'entre vous –…