La vérité, monsieur le député, c'est que ce que vous dites est facile à dire ici et maintenant. Vous jouez avec la vie des Français et des policiers avec vos « y a qu'à, faut qu'on ». Cessez de répéter que les policiers ont interdiction de poursuivre les auteurs de rodéos. Ils y sont autorisés sauf si l'équipage de police considère qu'il met en danger la vie d'autrui, ce qui me semble une raison valable. Nous serons d'ailleurs tous d'accord sur ce point le jour où ils croiseront nos femmes, nos enfants ou nos maris.