Sous la législature précédente, nous avons défendu une proposition de loi qui parlait, pour la première fois, des rodéos urbains. Je crois que ce texte a amélioré les choses même si le phénomène persiste à travers la France, de façon certes moins forte.
L'amendement n° 774 de ma collègue Natalia Pouzyreff, dont je suis cosignataire, apporte une amélioration manifeste car il appuie là où il faut.
J'ajoute que je n'agressais personne, madame la députée, au contraire, je saluais La France insoumise qui, à l'époque, s'était opposée à notre texte, et le fait qu'elle rejoint tranquillement nos positions, ce qui montre que la coconstruction est possible.